Visites qui dérangent le malade :
On ne doit pas rendre visite à un malade qui souffre des intestins, car sa maladie l’oblige à se lever et à sortir souvent et les personnes présentes le gênent.
Références : Guémara Nédarim page 41a, Rabbi Moché bar Maïmone z.t.l dans son Séfer le Rambam Pérek 14 Halakhot Avélout Halakha 5, Ramban Rabbi Moché bar Na’hmanid z.t.l dans son Séfer Torat Haadam page 17, Rabbi Yossef Karo z.t.l dans le Choul’han Aroukh Yoré Déâ Siman 335 Saïf 8, Rav Méïr Wanounou Chlita dans son Séfer Rofé Holim volume 1 page 72 Saïf 37, Rav Avraham M. Hassan Chlita dans le Kitsour Choul’han Aroukh page 386 Saïf 9, Rabbi Chlomo Ganzfried z.t.l dans son Kitsour Choul’han Aroukh Siman 193 Saïf 10.
Il en est de même si le malade souffre de maux de tête ou de douleurs dans les yeux ou de toute autre maladie qui rendrait pénible l’entretien avec les visiteurs. Dans de pareils cas, on se rendra chez lui mais on restera en dehors de sa chambre. On s’enquerra de sa santé, de ses besoins, on écoutera sa souffrance et on implorera D. en sa faveur.
🔴Mais n’oublierons pas qu’ils s’agit d’individus chacun étant différent.
Actuellement les gens éprouvent une grande solitude et il est possible que malgré le désagrément ils voudront quand même la visite près d’eux …
🟡Sachons leur demander personnellement .
Gardons l’équilibre en privilégiant la communication.
Références : Guémara Nédarim page 41a, Rabbi Moché bar Maïmone z.t.l dans son Séfer le Rambam Pérek 14 Halakhot Avélout Halakha 5, Ramban Rabbi Moché bar Na’hmanid z.t.l dans son Séfer Torat Haadam page 17, Rabbi Yossef Karo z.t.l dans le Choul’han Aroukh Yoré Déâ Siman 335 Saïf 8, Rav Méïr Wanounou Chlita dans son Séfer Rofé Holim volume 1 page 72 Saïf 37, Rav Avraham M. Hassan Chlita dans le Kitsour Choul’han Aroukh page 386 Saïf 9, Rabbi Chlomo Ganzfried z.t.l dans son Kitsour Choul’han Aroukh Siman 193 Saïf 10.
Aphorisme de nos Sages :
Schémayah disait : « Aime le travail, fuis les honneurs, et ne recherche point la faveur des grands. »