Une femme enceinte, allaitante ou qui a fait une fausse couche pour le jeûne de Tichâ Béav

Règles importantes :

Eviter de sortir de chez vous :

Pour le jeûne de Tichâ Béav, il est conseillé à toute personne en état de fragilité, de ne pas sortir de chez elle, y compris pour se rendre au Beth Haknesset (à la synagogue), surtout si elle risque d’en arriver à une situation où elle devra manger.

Pour Tichâ Béav, contrairement à Yom Kippour, lorsqu’il s’agit d’une personne malade, les Sages n’ont pas du tout fixé le jeûne de Tichâ Béav pour ce cas-là, donc, si elle est malade elle est autorisée à manger, et n’a pas besoin de manger ou boire moins de quantité dans un temps prescrit comme pour Yom Kipour, et pourra manger normalement ce dont elle a besoin.

Références : Voir les nombreux Poskim rapportés à ce sujet par Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans Yabia Omer section Orah Haïm volume 10 saïf 39.

Les personnes autorisées à manger le jour de Tichâ Béav : cliquez sur le lien

https://www.lejudaisme.org/les-personnes-autorisees-a-manger-le-jour-de-ticha-beav/

Pour Tichâ Béav, le jeûne débute la veille juste avant le coucher du soleil (comme pour Yom Kippour). Un malade, qui ne peut pas jeûner 25 heures de suite, pourra débuter son jeûne avant l’aube comme pour les autres jeûnes (voir le calendrier de votre région).

Références : Rabbi Chimchon ben Moché Blokh z.t.l dans Nézirout Chimchon Siman 554, Rabbi Yitshak Yossef ^Chlita dans Yalkout Yossef Halakhot Moadim page 574 et Yalkout Yossef Halakhot החייבים בתענית  jeune de Ticha Béav siman saif Katan 2 .

Une femme enceinte, ou allaitante ou qui a fait une fausse couche :

Le jeûne de Tichâ BéAv est comme celui de Yom Kippour et donc une femme enceinte, une femme allaitante ou encore une femme qui a fait une fausse couche doit jeûner, même si pour les autres jeûnes elles sont abstenues. (Voir les détails dans les Halakhot qui suit).

Références : Rabbi Yossef Karo z.t.l. dans le Choul’han Aroukh, Siman 554, Saïf 5, Rabbi Yaâkov Sofer z.t.l. dans Kaf Hahaïm Siman 554 Saïf 6 Saïfs Katans 26 et 29, Rabbi Israël Méïr HaCohen z.t.l. dans Michna Béroura Siman 517 Saïf Katan 1 et Siman 550 Saïf Katan 5 et Biour Halakha Siman 559 Saïf 9 et Siman 554 Saïf Katan 14, Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans Hazon Ovadia page 279, Halakha 1, Rabbi Yitshak Yossef Chlita dans Yalkout Yossef Moâdim page 577 Halakha 1, Rav Eliézer Waldenberg z.t.l. dans Tsits Eliézer volume 17 Siman 14, Rabbi Yaakov Reisher Responsa Chévout Yaâkov volume 3 Siman 37, Rabbi Malkiel Tsvi Halévy Tannebaum z.t.l dans Responsa Divré Malkiel volume 3 Siman 26.

Une femme enceinte :

Si une femme enceinte est malade, même s’il n’y a pas de danger, devra impérativement manger et boire, elle n’aura pas besoin de rembourser le jeûne et n’aura pas besoin de jeûner même quelques heures.

Références : Guémara Péssah’im page 54b, Rabbi Moché ben Maïmone dans le Rambam Halakhot Taânit chapitre 2 Halakha 10, Rabbi Yossef Karo z.t.l. dans le Choul’han Aroukh, Siman 554, Saïf 5, Rabbi Israël Méïr HaCohen z.t.l dans Chaâr Hatsiyoun siman 550 Saïf katan 2 et 3 , Rav Yitsh’ak Zilberstein Chlita dans Torat Hayoledet Torat Hayoledet Perek 48 Saïf 4, Rabbi Moché Sternboukh Chlita dans Techouvot Véhanhagot volume 5 siman 169, Rabbi Ôvadia Yossef z.t.l dans H’azon Ovadia Halakhot Taânit page 279, Rabbi Ben Tsion Aba Chaoul z.t.l dans Or Létsion page 258, Rabbi Yitshak Yossef Chlita dans Yalkout Yossef Moâdim page 577 Halakha 1, 

Dans les cas suivants, même s’il n’y a pas de danger, la femme en question devra impérativement manger et boire, et n’aura pas besoin de rembourser le jeûne et n’aura pas besoin de jeûner même quelques heures.

a) Une femme enceinte qui souffre beaucoup de vomissements et de vertiges, est considérée comme une personne malade et elle doit manger normalement,

B) Une femme enceinte qui est très faible qui lui manques du sang ou du fer, doit manger normalement,

C) si le jeune peut engendrer une fausse couche doit manger normalement,

D) une femme qui a un doute, si elle rentre dans la catégorie d’une personne malade, elle commencera à jeûner et si elle se sens faible,  elle passe dans la catégorie des personnes malades et  pourra boire et manger normalement.

Références : Rabbi Daṿid ben Avraham Dov Auerbakh dans le Séfer Halikhot Béta siman 25, Rabbi Daṿid Yossef Chlita dans Torat Hamoadim siman 7 saif 3, Rabbi Simha Rabinovitch dans Piské Techouvot siman 554 Saïf 5, Rabbi Mordekhaï Krap Chlita dans le Séfer Hag Béhag Halakhot Tichâ Béav siman 7 Saïf 4, Rabbi Eliézer Mélamed Chlita dans Péniné Haalakha Halakhot Tichâ Béav siman 3 Saïf 4 note 5, Rabbi Yitshak Zilbershein Chlita dans son sefer Torat Hayoledet Perek 48 siman 4 Saïf 6.

Généralité, pour les personnes malades :

Un doute concernant le jeune de Yom Kippour on adoptera la rigueur car c’est un jeûne instauré par la Torah, contrairement au jeûne de Tichâ Béav si nous avons un doute on pourra être plus permissif.

Contrairement à Yom Kippour, pour Tichâ Béav, les Sages n’ont pas du tout fixé le jeûne pour les malades, ceux-ci sont donc autorisés à manger, et n’ont pas besoin de manger ou boire moins de quantité dans un temps prescrit comme pour Yom Kippour, ils pourront manger normalement ce dont ils ont besoin et n’auront pas besoin de rembourser le jeûne et n’ont pas besoin non plus de jeûner même quelques heures.

Références : Voir les nombreux Poskim rapportés à ce sujet par Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans Yabia Omer section Orah Haïm volume 10 saif 39.

Un accouchement :

Une femme qui a accouché doit impérativement manger du jour de l’accouchement jusqu’au 30ème jour qui suit l’accouchement.

Références : Rabbi Yossef Karo z.t.l dans le Choul’han Aroukh au Siman 554, Rabbénou Nissim z.t.l. dans le Ran, le Ritva et le Tour, dans le même Siman, Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans Hazon Ovadia Page 280 Halakha 3 ainsi que dans les commentaires.

Après ce délai, elles seront tenues de jeûner (voir les références plus haut).

Références : Rabbi Yossef Karo z.t.l dans le Choul’han Aroukh Ora’h Haïm Siman 554 Saïf 5, Rabbi Ben Tsion Aba Chaoul z.t.l dans Or Létsion Volume 3 perek 29, Rabbi Ôvadia Yossef z.t.l dans H’azon Ovadia page 279, Rabbi Séraya Déblisky z.t.l. dans son sefer Néhamat Israël page 149.

Si une femme qui a accouché est malade et même si son état est sans danger, elle devra impérativement manger et boire, elle n’aura pas besoin de rembourser le jeûne et n’aura pas besoin de jeûner même quelques heures.

Références : Guémara Péssah’im page 54b, Rabbi Moché ben Maïmone z.t.l. dans le Rambam Halakhot Taânit chapitre 2 Halakha 10, Rabbi Yossef Karo z.t.l. dans le Choul’han Aroukh, Siman 554, Saïf 5, Rabbi Israël Méïr HaCohen z.t.l dans Chaâr Hatsiyoun siman 550 Saïf 2, Rav Yitsh’ak Zilberstein Chlita dans Torat Hayoledet Perek 48 Saïf 4, Rabbi Moché Sternboukh Chlita dans Techouvot Véhanhagot volume 5 siman 169, Rabbi Haïm Yossef David Azoulay z.t.l. dans Birké Yossef siman 554 Saïf Katan 5, Responsa Anhaguot volume 4 siman 130, Rabbi Chmouël Abouhab z.t.l. dans son Responsa Dévar Chmouel Abouhab siman 107, Rabbi Moché Sofer z.t.l. dans le Hatam Sofer volume 6 siman 23, Rabbi Moché Kalfon HaCohen z.t.l. de Djerba dans son Responsa Choèl Vénichal volume 5 siman 87, Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans Yabiâ Omer volume 10 section Ora’h Haïm siman 39 et dans Yabiâ Omer volume 5 section Ora’h Haïm siman 4, Ot 5, et dans H’azon Ovadia Halakhot Taânit page 279, Rabbi Ben Tsion Aba Chaoul z.t.l dans Or Létsion page 258, Rabbi Yitshak Yossef Chlita dans Yalkout Yossef Moâdim page 577 Halakha 1, Rabbi Haïm Yossef David Azoulay z.t.l. dans Birké Yossef siman 554 Saïf Katan 5, Responsa Anhaguot volume 4 siman 130, Rabbi Chmouël Abouhab z.t.l. dans son Responsa Dévar Chmouel Abouhab siman 107, Rabbi Moché Sofer z.t.l. dans le Hatam Sofer volume 6 siman 23, Rabbi Moché Kalfon HaCohen z.t.l. de Djerba dans son Responsa Choèl Vénichal volume 5 siman 87, Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans Yabiâ Omer volume 10 section Ora’h Haïm siman 39 et dans Yabiâ Omer volume 5 section Ora’h Haïm siman 4, Ot 5.

Une fausse couche :

Les femmes ayant subis une fausse couche, ne sont pas tenues de jeûner jusqu’à 30 jours après la fausse couche.

Passer ce délai elles doivent jeûner 

(voir les références en haut).

Si une femme a fait une fausse couche, et qu’elle est malade, même si sont état est sans danger, elle devra impérativement manger et boire, elle n’aura pas besoin de rembourser le jeûne et n’aura pas besoin de jeûner même quelques heures.

Références : Guémara Péssah’im page 54b, Rabbi Moché ben Maïmone z.t.l. dans le Rambam Halakhot Taânit chapitre 2 Halakha 10, Rabbi Yossef Karo z.t.l. dans le Choul’han Aroukh, Siman 554, Saïf 5, Rabbi Israël Méïr HaCohen z.t.l dans Chaâr Hatsiyoun siman 550 Saïf 2, Rav Yitsh’ak Zilberstein Chlita dans Torat Hayoledet Perek 48 Saïf 4, Rabbi Moché Sternboukh Chlita dans Techouvot Véhanhagot volume 5 siman 169, Rabbi Ôvadia Yossef z.t.l dans H’azon Ovadia Halakhot Taânit page 279, Rabbi Ben Tsion Aba Chaoul z.t.l dans Or Létsion page 258, Rabbi Yitshak Yossef Chlita dans Yalkout Yossef Moâdim page 577 Halakha 1, Rabbi Haïm Yossef David Azoulay z.t.l. dans Birké Yossef siman 554 Saïf Katan 5, Responsa Anhaguot volume 4 siman 130, Rabbi Chmouël Abouhab z.t.l. dans son Responsa Dévar Chmouel Abouhab siman 107, Rabbi Moché Sofer z.t.l. dans le Hatam Sofer volume 6 siman 23, Rabbi Moché Kalfon HaCohen z.t.l. de Djerba dans son Responsa Choèl Vénichal volume 5 siman 87, Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans Yabiâ Omer volume 10 section Ora’h Haïm siman 39 et dans Yabiâ Omer volume 5 section Ora’h Haïm siman 4, Ot 5.

Les femmes qui allaitent :

Les femmes qui allaitent doivent jeûner, (voir les références en haut).

Si une femme allaitante est malade, même si sont état est sans danger, elle devra impérativement manger et boire, elle n’aura pas besoin de rembourser le jeûne et n’aura pas besoin de jeûner même quelques heures.

Références : Guémara Péssah’im page 54b, Rabbi Moché ben Maïmone z.t.l. dans le Rambam Halakhot Taânit chapitre 2 Halakha 10, Rabbi Yossef Karo z.t.l. dans le Choul’han Aroukh, Siman 554, Saïf 5, Rabbi Israël Méïr HaCohen z.t.l dans Chaâr Hatsiyoun siman 550 Saïf 2, Rav Yitsh’ak Zilberstein Chlita dans Torat Hayoledet Perek 48 Saïf 4, Rabbi Moché Sternboukh Chlita dans Techouvot Véhanhagot volume 5 siman 169, Rabbi Ôvadia Yossef z.t.l dans H’azon Ovadia Halakhot Taânit page 279, Rabbi Ben Tsion Aba Chaoul z.t.l dans Or Létsion page 258, Rabbi Yitshak Yossef Chlita dans Yalkout Yossef Moâdim page 577 Halakha 1, Rabbi Haïm Yossef David Azoulay z.t.l. dans Birké Yossef siman 554 Saïf Katan 5, Responsa Anhaguot volume 4 siman 130, Rabbi Chmouël Abouhab z.t.l. dans son Responsa Dévar Chmouel Abouhab siman 107, Rabbi Moché Sofer z.t.l. dans le Hatam Sofer volume 6 siman 23, Rabbi Moché Kalfon HaCohen z.t.l. de Djerba dans son Responsa Choèl Vénichal volume 5 siman 87, Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans Yabiâ Omer volume 10 section Ora’h Haïm siman 39 et dans Yabiâ Omer volume 5 section Ora’h Haïm siman 4, Ot 5.

b) Si un bébé est malade et que le médecin dit, si la mère jeûne cela peut engendrer une problématique à l’enfant, celle-ci devra manger et boire sans limite afin de nourrir son enfant.

c) Les femmes qui allaitent qui s’aperçoivent pendant le jeûne, qu’elles n’auront pas suffisamment de lait, n’auront pas la nécessité de donner du lait artificiel à leur nourrisson, elles devront manger et boire pendant le jeûne.

Références : Rabbi Yossef Karo z.t.l dans le Choul’han Aroukh Ora’h Haïm Siman 554 Saïf 5, Rabbi Ben Tsion Aba Chaoul z.t.l dans Or Létsion Volume 3 perek 29, Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans Yabiâ Omer section Orah Haim Siman 39 page 71 et dans H’azon Ovadia page 279, Rabbi Séraya Déblisky z.t.l. dans son sefer Néhamat Israël page 149, Rabbi Yits’hak Yossef Chlita dans Yalkout Yossef Moâdim page 577 Halakha 1, Rabbi Haïm Yossef David Azoulay z.t.l. dans Birké Yossef siman 554 Saïf Katan 5, Responsa Anhaguot volume 4 siman 130, Rabbi Chmouël Abouhab z.t.l. dans son Responsa Dévar Chmouel Abouhab siman 107, Rabbi Moché Sofer z.t.l. dans le Hatam Sofer volume 6 siman 23, Rabbi Moché Kalfon HaCohen z.t.l. de Djerba dans son Responsa Choèl Vénichal volume 5 siman 87, Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans Yabiâ Omer volume 10 section Ora’h Haïm siman 39 et dans Yabiâ Omer volume 5 section Ora’h Haïm siman 4, Ot 5.

Sonde :

Un patient étant alimenté par un tube inséré par la gorge jusqu’à l’estomac (sonde) ou à travers la paroi abdominale (Gastrostomie), n’a aucune interdiction, et donc peut s’alimenter le jour de Ticha Béav.

Références : Rabbi Eliezer Yéhouda Waldenberg z.t.l dans son responsa Tsits Eliézer volume 11 siman 37, Sefer Assia Centre de la Réfoua de Chaâré Tsédek de Jérusalem Halakha 224 année 1979, Rabbi Mordékhaï Yaâkov Breïch z.t.l dans son responsa Hélkat Yaâkov volume 3 siman 68, responsa Nichmat Abraham volume 1 section Orah Haïm siman 612 fin du Saïf Katan 7, Rabbi Chalom Mordékhaï Cohen Chvadron z.t.l dans son responsa Maharchmam Volume 1 siman 123, Rabbi Eliezer Yéhouda Waldenberg z.t.l dans son responsa Tsits Eliézer volume 10 siman 25 Pérek 21, Rabbi Moché Feinstein z.t.l dans son Responsa Iguérot Moché section Ora’h Haïm volume 3 siman 90, Rabbi Haïm H’izkiyahou Médini z.t.l dans le Sdé H’émed section Yom Hakipourim siman 1 ot 18.

Lorsque Ticha Béav tombe Chabbat :

Lorsque le jeûne tombe Chabbat et qu’il est repoussé au lendemain, on pourra être plus permissif envers les femmes enceintes et envers celles qui ont accouché (même celles qui ont dépassé les 30 jours qui suivent leur accouchement) celles-ci pourront manger dès qu’elle ressentiront un léger malaise. 

Références : Rabbi Israël Méïr HaCohen z.t.l dans Biour Halakha Siman 559 Saïf Katan 9, Techouvot Véhanhagot volume 2 chapitre 252, Rabbi Ôvadia Yossef z.t.l dans H’azon Ovadia page 60 au sujet des femmes enceintes [par contre pour une femme qui a accouché, si le 31ème jour après son accouchement tombe le dimanche lorsque le jeûne est repoussé elle a le même statut que si le jeûne n’était pas repoussé].

 Le strict nécessaire :

Une personne autorisée à manger, veillera à manger que le strict nécessaire pour sa santé et ne consommera pas de gourmandises.

Références : Rabbi Yossef Karo z.t.l dans le Choul’han Aroukh, Siman 554, Saïf 6, Yafé Lélev, volume 2, Ot 3, Rabbi Israël Méïr HaCohen z.t.l dans Michna Béroura, Siman 554 Saïf Katan 11 et Siman 550 Saïf Katan 5, Mizbéyah Adama, Siman 554, Rabbi Haïm Yossef David Azoulay z.t.l dans Mah’zik Bérakha, Komets Hamin’ha, Ot 1, Rav Mordekhaï Éliyahou z.t.l dans Maamar Mordékhaï, Ot 2, Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans Yabiâ Omer Ora’h Haïm, volume 5, Siman 40, Ot 5 et Yéhavé Daât Hélek 1 Siman 42 et dans H’azon Ovadia Halakhot Taânit page 57, Rabbi Yitshak Yossef Chlita dans Yalkout Yossef Hélek Moâdim, Yalkout Yossef Hélek Moâdim.

Nahem (prière du jeûne dans la Amida) :

La personne autorisée à manger ne récitera pas « Nahem » dans la Amida.

Références : Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans Yéhavé Daât Hélek 1 Siman 40.

Manger du pain :

Les personnes malades qui désirent manger du pain, se laveront les mains normalement, comme durant l’année.

Références : Rabbi Yitshak Yossef chlita dans Yalkout Yossef Halakhot Bérakhot page 85.

En espérant que ces lois ne resteront que théoriques et que Machia’h se dévoilera avant le jeûne, amen