La Mitsva de Tsédaka est grande et apporte la délivrance avant même que le décret ne vienne. Quand Hachem voit qu’un mauvais décret doit toucher quelqu’un et qu’Il veut sauver cette personne, Il lui envoie un cadeau, c’est-à-dire la possibilité de donner de la Tsédaka ou de faire un ‘Hessed (un acte de bonté). En réalisant cette Mitsva, un charme particulier vient sur le donateur et les anges destructeurs le fuient et ne lui causent aucun dommage.
Références : Zohar Hakadoch, Maâlat Hatsédaka Maamar 3 saif 5, Guémara Roch Hachana page 16b.
Le Talmoud nous rapporte, celui qui se détourne de la charité est assimilé à un idolâtre.
Références : Guémara Kétouvot page 68a, Rabbi Moshé ben Maïmon z.t.l dans Michné Torah Lois des dons aux pauvres Siman 10 saïf 1.
Renier l’importance des actes de générosité et refuser d’en faire, c’est comme renier Hachem.
Références : Midrach Yalkout Chimôni – Kohélét 287.
Grace à la Mitsva de Tsédaka tous les Cieux reçoivent beaucoup de sainteté.
Références : Zohar Hakadoch.
Celui qui donne de la nourriture ou de l’argent à un pauvre, engendre la bénédiction que le monde tout entier reçoive du Ciel de la nourriture.
Références : Zohar Hakadoch.
Celui qui fait de la Tsédaka est appelé Chalom, comme l’un des Nom d’Hachem. En donnant de la Tsédaka, on apporte le Chalom (la paix) dans le monde et heureux celui qui est appelé du Ciel ainsi !
Références : Zohar Hakadoch dans la Parachat Mikets page 169.
Multiplier la charité, c’est multiplier la paix [et l’amour mutuel dans le monde, comme il est dit : וְהָיָה מַעֲשֵׂה הַצְּדָקָה, שָׁלוֹם « L’acte de charité sera : la paix »
Références : Yéchayahou chapitre 32 verset 17, Pirké Avot chapitre 2 michna 7, basé sur Rabbi Aharon Rata z.t.l rapporté par Rabbi Emmanuel Mimran Chlita.
La Mitsva de Tsédaka ne se limite pas à donner de l’argent. Elle consiste aussi à aider les autres dans tous leurs besoins.
Aphorismes de nos Sages
Lorsqu’un mendiant se tient à votre porte, le Saint Béni soit-il se tient à ses côtés (Commentaire sur le Lévitique).