Celui qui donne de la Tsédaka avec joie, en voulant réjouir le pauvre, mérite de parfaire l’aspect de son âme et de la faire ressembler à l’âme de Adam Harichon, avant la faute, ce qui est l’un des objectifs de toute Téchouva et de toute Mitsva !
Références : Zohar Hakadoch, Yéshayahou/Ésaïe 57 :15) : «Pour faire revivre la cœur de l’opprimé». Rabbi Moshé ben Maïmon, «Mishné Torah» Halakhot Méguila chapitre 2 Halakha 17.
La Mitsva de la Tsédaka permet même d’être sauvé d’attaques voulues et causées par des humains (chose qui nécessite des mérites particuliers). La Tsédaka sauve de tels dangers, et à plus forte raison elle sauve d’attaques de bêtes quelconques.
Références : Zohar Hakadoch.
La Mitsva de Tsédaka permet de ’’compléter’’ et d’unifier le Nom d’Hachem (il s’agit de notions de Kabbala) dans tous les mondes célestes ! Le Zohar Hakadoch précise que pour mériter de causer un impact tellement intense et grand, il est nécessaire de donner la Tsédaka en l’honneur d’Hachem et de ne pas la faire pour s’enorgueillir, ‘Has véchalom !
Si l’on désire intensifier encore plus cette réparation effectuée par la Tsédaka, on donnera si possible aux pauvres avant d’être sollicité ! Mais même si le pauvre a déjà demandé, on donnera cependant avec joie et Lichma et ainsi la réparation effectuée sera des plus grandes !
Références : Rabbi ‘Haïm Vital z.t.l.
Aphorisme de Rabbi Menahem Mendel de Kotzk
« Qu’il n’y ait pas chez toi de divinité étrangère. »
Que le Saint Béni soit-il ne soit pas pour toi un étranger, dans ton cœur et dans ton âme.