- La Mitsva de la Tsédaka aux pauvres est plus importante que de construire le temple !
Références : Guémara Yéroushalmi Péa.
- La Mitsva de la Tsédaka donne le mérite de voir des miracles dévoilés !
Références : Guémara Yéroushalmi Péa.
- Par la Mitsva de Tsédaka, l’homme mérite d’être relié à l’arbre de la vie et même s’il y a déjà un décret sur l’homme de mourir, il peut le changer, il est raconté dans le Talmud que Rabbi Akiva savait qu’un décret pesait sur sa fille et qu’elle devait mourir le soir de son mariage. Il ne lui annonça pas ce décret et le soir de son mariage, elle offrit un repas à un pauvre. Finalement, le soir, elle écrasa un serpent (sans le savoir) et ce n’est que le lendemain, lorsque Rabbi Akiva aperçut que sa fille vivait encore, qu’ils aperçurent le serpent et qu’elle raconta qu’elle avait nourri un pauvre la veille.
Références : Talmud Babli Chabbat page 156, Guémara Roch Hachana page 16b.
- On retrouve aussi une histoire à propos d’un Tsadik dénommé Binyamin Hatsadik, qui était responsable d’un fond de charité. Une année de pénurie, une femme vint le voir, et lui dit : « Rabbi, aides-moi ! » Il lui répondit : « Je te jure, qu’il n’y a plus un centime dans le fond de charité » Elle lui dit : »Rabbi, si tu ne m’aides pas, une femme et ses 7 enfants vont mourir. »
Il l’aida alors avec son propre argent. Peu de temps après, il tomba gravement malade.
Les anges ont dit à D. : « Maître du monde, Tu as dit que celui qui sauve une âme juive, c’est comme s’il avait sauvé le monde entier. Est-ce que Binyamin haTsadik qui a sauvé une femme et ses 7 enfants, doit mourir si jeune?
Immédiatement, sa sentence a été déchirée.
Il a été enseigné qu’on lui a ajouté 22 années à sa vie. »
Références : Guémara Baba Batra page 11a.
Et il y a de nombreuses histoires qui vont dans ce même sens. Aussi, celui qui a besoin de guérison (ainsi que chaque personne qui veut allonger sa vie) distribuera de la Tsédaka encore plus que ses moyens à des pauvres méritants. Et il ne faut pas attendre d’être malade pour agir ainsi !
Références : Basé sur Rabbi Aharon Rata z.t.l rapporté par Rabbi Emmanuel Mimran Chlita.
Aphorisme de nos Sages
Un homme peut donner beaucoup, mais, parce qu’il donne sans amour et blesse le cœur du pauvre, son don est vain, car il a perdu l’attribut de la charité.