La puissance de la Mitsva de Tsédaka (partie 2)
La Tsédaka est plus grande que les sacrifices qui sont offerts sur l’autel, mais la bonté est encore plus grande que la charité.
Références : Guémara Soukah page 49b, Rabbi Aharon Rata z.t.l, dans le Taharat Hakodech.
Grande est la Tsédaka qui sauve du jugement de l’enfer.
Références : Guémara Guitin page 7, Rabbi Aharon Rata z.t.l dans le Taharat Hakodech.
Grande est la Tsédaka qui devient comme une armure. De la même façon que le blindage d’une armure est confectionné de nombreuses écailles, de même chaque pièce que l’on donne à la Tsédaka s’associe afin de devenir une armure pour le corps et l’âme. Il ressort d’ici que la Tsédaka crée un habit spirituel saint et protecteur contre les anges destructeurs et les mauvais décrets !
Références : Guémara Baba Batra page 9a.
La Mitsva de Tsédaka est importante car celui qui la poursuit trouvera la vie, la richesse et les honneurs ; les sages expliquent qu’il trouvera la vie du monde futur et la richesse et les honneurs dans ce monde-ci !
Références : Midrach Rabba chapitre 31, Pirké Dérabbi Eliézer chapitre 15, Rabbi Aharon Rata z.t.l dans le Taharat Hakodech.
Celui qui donne de l’argent à un pauvre reçoit 6 bénédictions.
Celui qui parle au cœur du pauvre, lui donne un bon sentiment et le réconforte, se verra béni de 11 bénédictions et 17 à celui qui fait les deux ».
Références : Guémara Baba Batra page 9b, Guémara Sanhédrin page 6b, Guémara Péssahim page 53b, Midrach Raba dans Vayika Rabba chapitre 25 / 2 , Rabbi Aharon Rata z.t.l. dans le Taharat Hakodech.
La Mitsva de Tsédaka ne se limite pas à donner seulement de l’argent, l’éventaille est bien plus large, elle consiste aussi à aider, à donner une parole réconfortante, à sourire, à être présent pour les autres dans tous leurs besoins
Références : Basé sur Rabbi Aharon Rata z.t.l rapporté par Rabbi Emmanuel Mimran Chlita.
Aphorisme de nos Sages
Si un homme dans le besoin refuse d’accepter la charité, il faut lui accorder une aide sous forme de prêt et ne rien faire pour en obtenir le remboursement (Commentaire sur le Deutéronome).