Celui qui montre de la compassion envers les autres, le ciel lui montrera de la compassion, tandis que celui qui n’a pas de compassion envers les autres, le ciel ne lui montrera pas de compassion.
Références : Guémara Chabbat page 151b.
La Tsédaka fait partie des devoirs qui n’ont pas de limites fixées par la Torah. Associée au sacrifice, elle a une dimension sacrée et donne à l’homme « une jouissance dans ce monde-ci, mais dont le fonds lui en reste conservé dans le monde futur ».
Références : Pirké Avot chapitre 1 Michna 2, Choulhan Aroukh Yoré Déâ. simanim 247, 249, 251, Rabbi Moché Bar Maïmon z.t.l dans le Séfer Hamitsvot Mitsva Positive 195 édition de Rabbi Yossef Kapah z.t.l, Midrach Rabba chapitre 31, Pirké Dérabbi Eliézer chapitre 15, Rabbi Aharon Rata z.t.l dans le Taharat Hakodech, Kohelet chapitre 7 verset 12 voir les commentaires, Zohar Hakadoch dans la préface page 124, Midrash Rabba Koehelet, Guémara Péssahim page 53b, Séfer Maâlat Hatsédaka Maamar chapitre 3 saïf 4.
Rabbi ‘Hiya disait ……celui qui est sensible, généreux et clément envers les pauvres à le plein mérite de vivre paisiblement et le monde valait la peine d’être crée pour lui ! Cet homme bienfaisant mérite un monde futur plein et intense !
Les sages disent que celui qui a pitié des autres créatures descend de Avraham Avinou (qui, lui-même, a répandu du ‘Hessed avec cœur et âme. Heureux est celui qui s’éloigne de l’égoïsme.
Références : Talmud de Babylone, Soukah page 49b, Rabbi Moché Bar Maimon z.t.l dans le Séfer Mishné Torah Hilkhot Tefillah 1, 4.
Les sages nous enseignent, que l’étude de la Torah est une grande Mitsva mais elle doit être accompagnée par l’accomplissement des Mitsvot. En donnant de la Tsédaka la Torah a une raison d’être.
Aphorismes du Baal Chem Tov
Chaque Juif, même le plus simple, a la capacité de s’attacher aux mots de la Torah et de la prière, atteignant ainsi les plus hauts degrés d’unité avec D.ieu.