Être en mauvais terme avec le malade :
Celui qui est en mauvais terme avec une autre personne doit lui rendre visite si elle est malade ou si elle est en deuil, car ceci pourrait engendrer de la fraternité entre eux et de le réjouir, ce qui pourrait contribuer à sa guérison, mais il est conseillé de le demander préalablement au malade par intermédiaire et de se pardonner mutuellement.
Références : Rav Méïr Wanounou Chlita dans son Séfer Rofé Holim volume 1 page 23 Saïf 8, Rav Avraham M. Hassan Chlita dans le Kitsour Choul’han Aroukh page 385 Saïf 5, Rabbi Moché Isserlas dans le Choul’han Aroukh Yoré Déâ Siman 335 Saïf 2, Rabbi Moché Yéhochouâ Yéhouda Leïb dans son Responsa Maharil Siman 197, Séfer Beth Hillel Siman 362, Rabbi Yéhouda Aïach z.t.l. dans Chévèt Yéhouda Yoré Déâ Siman 335, Rabbi Mickal Yéhyiel Halévy Epstein z.t.l dans Aroukh Hachoul’han Yoré Déâ Siman 335 Saïf Katan 6.
Mais si ils sont en mauvais terme au point qu’une haine féroce se soit installée et que ceci pourrait engendrer un dommage, il est préférable de s’en abstenir, sauf si le malade est d’accord de recevoir cette personne.
Références : Rav Méïr Wanounou Chlita dans son Séfer Rofé Holim volume 1 page 23 Saïf 8, Rav Avraham M. Hassan Chlita dans le Kitsour Choul’han Aroukh page 385 Saïf 5, Rabbi Moché Isserlas dans le Choul’han Aroukh Yoré Déâ Siman 335 Saïf 2, Rabbi Moché Yéhochouâ Yéhouda Leïb dans son Responsa Maharil Siman 197, Séfer Beth Hillel Siman 362, Rabbi Yéhouda Aïach z.t.l. dans Chévèt Yéhouda Yoré Déâ Siman 335, Rabbi Mickal Yéhyiel Halévy Epstein z.t.l dans Aroukh Hachoul’han Yoré Déâ Siman 335 Saïf Katan 6.
Aphorisme :
Ne bouleverse pas l’ordre social établi.