1) De même, on ne doit pas dire à un fils de converti : « Souviens-toi des actes de tes parents avant leur conversion…. », car là aussi on provoque de façon injuste la colère et la peine du fils du converti.
2) La Guémara Baba Métsiya 58b, rapporte que les amis de Yov lui dirent que toutes les souffrances qui s’abatent sur lui, ne sont arrivées qu’à cause de ses fautes, et en lui disant cela, ils lui causèrent de la peine et augmentèrent sa douleur.
La Guémara enseigne qu’il ne faut donc pas tenir de tels propos à une personne qui subit des épreuves, car cela fait aussi partie de l’interdiction de Onaat Dévarim (offense par la parole).
Références : Séfer de Yov, Guémara Baba Métsiya page 58b, Rabbi Yossef Karo z.t.l dans le Choul’han Âroukh section Hochen Michpat chapitre 228, Rabbi Éliézer Papo z.t.l dans Pélé Yoèts dans la section Aïn Harâ, Rabbénou Bah’yé z.t.l. dans son livre H’ovat Halévavot Chaâr Hakhnaâ, Rabbi Éliézer Chahar Plad z.t.l. dans son Séfer Gahalat Ech sur le Hafets Haïm Klal 1 Halakha 1.