Ségoula de la Paracha de Béchalah

Ségoula de la Paracha de Béchalah
Chabbat Chira

Ne manquez pas! De grandes Ségoulot pour ce Chabbat

Chabbat Béchalach « Chabbat Chira ». Ici nous avons quelques Ségoulot afin que nous méritions aussi la division de la Mer Rouge …..

1⃣) remplir la maison de chansons et chanter le chant de la mer (Az Yachir Moché…) avec la même joie que si vous traversiez maintenant la mer.

Le Sefat Emet dit :

Celui qui parvient à chanter, verra tous ses problèmes s’arranger de manière continue.

Ségoula pour la parnassa – lisez le chapitre ס »ט 69 dans les Tehilims qui a été écrit par Nahchon ben Aminadav z.t.l.

Références : Guémara Sota page 37a.

הוֹשִׁיעֵנִי אֱלֹהִים: אמר לו רבי יהודה ……זה אומר אין אני יורד תחילה לים וזה אומר אין אני יורד תחילה לים קפץ נחשון בן עמינדב וירד לים תחילה …. לפיכך זכה יהודה לעשות ממשלה בישראל וכו’.

סוטה לז ע »א

Psaume 69 verset 2 :

Mon D.ieu, viens me délivrer ; Seigneur, viens vite à mon secours ! j’ai de l’eau jusqu’au cou.

Sauve moi Hachem : Rabbi Yéhouda z.t.l nous enseigne : « Chacun disait je ne descendrai pas le premier à la mer, Nahchon ben Aminadav z.t.l. sauta le premier vers la mer … Ainsi, Yéhouda de par son courage, obtint la royauté en Israël.

Donner les miettes de pain aux oiseaux avant le Chabbat, placer une assiette de graines depuis la veille de Chabbat sur le rebord de la fenêtre ou autre, et les oiseaux viendront de façon certaine le matin de Chabbat pour consommer les graines. Ainsi, il n’y a pas le moindre interdit selon tous les avis.

En souvenir de ce qui est enseigné dans le Midrach : les enfants du peuple d’Israël ont donné aux oiseaux des graines qui poussaient dans les arbres dans la mer rouge, et les oiseaux se sont joints aux Béné Israël dans le Chant de la Mer Rouge.
une autre raison c’est afin de témoigner de la gratitude envers les oiseaux qui ont mangé la manne que Dathan et Aviram ont dispersées le Chabbat afin de troubler et tromper le peuple d’Israël.

Et les oiseaux mangèrent la manne et prouvèrent que les paroles de Moché étaient les paroles d’un D.ieu vivant.

Cette tradition est citée dans les ouvrages d’illustres décisionnaires.

Références : Rabbi Ovadia Yossef z.t.l. dans Livyiat H’en et dans H’azon Ovadia Halakhot Chabbat volume 3 page 224 et volume 4 page 270.