Par conséquent, les Sages du Talmud ont instaurés ce jour comme jour de fête :
a) On ne récitera pas les Ta’hanounim en ce jour très particulier, (textes de supplications journalières).
b) Il est interdit de jeûner en ce jour, même pour les fiancés avant leur mariage (pour ceux qui jeûne).
c) Si une personne est enterrée ce jour-là, (qu’Hachem nous en préserve, Lo Alénou) on ne prononce pas d’éloge funèbre à l’exception d’un grand Rav.
d) C’est un jour propice aux mariages.
Demander et prier Hachem afin qu’il accorde une bonne union à tous les célibataires.
Références : Rabbi Yossef Karo z.t.l dans le Choul’han Aroukh Siman131 Saïf 6 Rabbi Tsvi Élimelekh Chapira de Réminov dans son ouvrage Béné Yissakhar Maamar Bétoula Béma’hol 2, Rabbi Mordékhaï Yafé dans le Lévouch Ora’h Haïm 580:2, Rabbi Avraham Gombiner z.t.l dans le Maguen Avraham Siman 573 Saïf 1.
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