Dispenser les besoins du malade
Dispenser les besoins du malade :
L’essentiel de ce devoir est de s’informer des besoins du malade pour les lui procurer et de prier pour lui. Celui qui rend visite à un malade sans prier en sa faveur n’a pas réalisé la Mitsva de Bikour ‘Holim.
Références : Guémara Nédarim page 40a, Rabbénou Nissim dans la Guémara Nédarim page 40a, Guémara Kétouvot page 104a, Ramban Rabbi Moché bar Na’hmanid z.t.l dans son Séfer Torat Haadam page 17, Tour Beth Yossef Yoré Déâ Siman 335 Saïf 4, Rabbi Miché Isserlas z.t.l dans le Choul’han Aroukh Yoré Déâ chapitre 335 Saïf 4, Rabbi Yéhyiel Mikhal Touksinski z.t.l dans Séfer Guécher Hahaïm chapitre 1 Saïf Katan 3, Rabbi Yéchaâya Halévi Horowitz z.t.l dans le Chlah Hakadoch volume 2 dans la Guémara Péssah’im page 144a, Rabbi Eliezer Papo z.t.l dans Pélé Yoèts Ot 8, Rabbi Chlomo Ganzfried z.t.l dans son Kitsour Choul’han Aroukh Siman 193 Saïf 3.
La Mitsva de Bikour ‘Holim acquiert sa plus grande valeur lorsqu’on dispense tous ses besoins à un malade nécessiteux, soins médicaux, nourriture, chauffage par temps froid. On contribue ainsi à lui sauver la vie et on apporte un grand réconfort aussi bien au malade qu’à sa famille».
Références : Guémara Nédarim page 39b, Rabbi Haïm Palaggi z.t.l dans Kaf Hahaïm Siman 26 Saïf 10, Rabbi Yossef Youzfa z.t.l dans Séfer Omèts chapitre Bikour Holim page 224, Rabbi Haïm Yossef David Azoulay z.t.l dans Mah’zik Bérakha Siman 287 Saïf 5, Rabbi Chlomo Ganzfried z.t.l dans son Kitsour Choul’han Aroukh Siman 193 Saïf 3, Rav Avraham M. Hassan Chlita dans le Kitsour Choul’han Aroukh page 385 Saïf 7, Rabbi Yaâkov Kouli z.t.l dans Méa, Loèz Paracha de Vayéra, Rav Méïr Wanounou Chlita dans son Séfer Rofé Holim volume 1 page 17 Saïf 4, Rabbi Eliezer Papo z.t.l dans Pélé Yoèts Ot 8, Rabbi Yéhouda Ben Chmouel Éhassid z.t.l Séfer Hassidim Ot 361.
APHORISME DU PIRKE AVOT (Maximes de nos Pères) :
Ben Azaï disait : « Accomplis avec empressement les préceptes même peu importants et évite le péché ; car une Mitsva entraîne une autre Mitsva, et un péché entraîne un autre péché. La récompense d’une Mitsva est d’être suivie d’une autre Mitsva et la conséquence du péché est de nous conduire à pécher encore ».