Celui qui donne de la Tsédaka à un érudit, méritera une place près de lui dans le monde futur, même s’il est lui-même ignorant !
Références : Kohelet chapitre 7 verset 12 voir les commentaires, Zohar Hakadoch dans la préface page 124, Midrash Rabba Koehelet, Guémara Péssahim page 53b, Rabbi Aharon Rata z.t.l dans le Taharat Hakodech.
Rabbi Yohanan dit : « Toutes les prophéties concernent celui qui s’associe aux érudits »
Rabbi Yossi, fils de Rabbi Hanina a dit au nom de Rabbi Éliézer ben Yaakov « il fait profiter les érudits de ses biens ! (Mais cela n’empêche qu’il faut tout faire pour étudier soi-même, la Torah« .
Références : Guémara Bérakhot page 34b, Zohar Hakadoch dans les préfaces 124 et 233, Vayikra Raba, 2:10 ; Rachi, Béréchit, 7:2.
La Mitsva de la Tsédaka donne le mérite de se retrouver, dans le monde futur, avec de grands Tsadikim !
Même des personnes très éloignées de la Torah reçoivent un réveil du Ciel pour se rapprocher des Mitsvot.
Références : Midrash Rabba Koehelet, Guémara Péssahim page 53b, Rabbi Aharon Rata z.t.l dans le Taharat Hakodech.
La Mitsva de Tsédaka est si importante que même les vagues de la mer plaident en faveur de celui qui donne de la Tsédaka.
Un Tsadik, qui avait l’habitude de donner beaucoup de Tsédaka, voyagea en mer. Une tempête éclata et son bateau coula. Rabbi Akiva, qui vit la scène de loin, voulut témoigner que cet homme était décédé et que sa femme pouvait se remarier. Cependant, avant que Rabbi Akiva ne témoigne, l’homme arriva sur ses pieds, bien vivant… ! Rabbi Akiva demanda : « Est-ce bien toi qui était dans le bateau ? ». Oui, répondit l’homme ! « Qui t’a donc sauvé ? », « C’est la Mitsva de Tsédaka que j’accomplis avec ferveur ! » « Et qui t’a affirmé ceci ? » « Et bien, répondit le miraculé, lorsque j’étais en train de me noyer, j’ai entendu les vagues qui se parlaient (il s’agit probablement des anges préposés sur chaque objet du monde) et disaient : ne noyons pas cet homme qui a fait tellement de Tsédaka ! » Entendant ce témoignage, Rabbi Akiva se réjouit d’avoir mérité de voir l’accomplissement du verset : « Jette ton pain à la surface de l’eau, car au cours des jours tu le retrouveras ! » ainsi que du verset : « La Tsédaka sauve de la mort ! »
Références : Michlé chapitre 11 verset 4, Avot de Rabbi Natan chapitre 3 , Tana Débé Eliyahou Zouta chapitre 1 /11, Rabbi Aharon Rata z.t.l dans le Taharat Hakodech.
Aphorisme de nos Sages
Mon fils, sois fidèle aux recommandations de ton père, ne délaisse pas l’enseignement de ta mère. Porte les constamment attachés à ton cœur, noués à ton cou.