Celui qui court toujours après la Mitsva de Tsédaka recevra toujours de l’argent afin de le donner aux pauvres afin d’accomplir encore et encore cette Mitsva. Et même si ‘Has véchalom un décret pèse sur ce donateur de devenir pauvre, il aura toujours la possibilité de nourrir des pauvres affamés et de faire du ‘Hessed avec les nécessiteux.
Ce mérite n’est pas donné à tout le monde, même à des riches qui ont de l’argent et qui veulent donner ! Et plus que cela, Hachem lui présentera toujours des pauvres Tsadikim pour leur donner de la Tsédaka. Et pour cela il faut avoir beaucoup de mérites !
Références : Guémara Taânit page 8a, Guémara Holine page 7b, Guémara Roch Hachana 16b, Rabbi Moché Bar Maimon z.t.l dans Yad Hahazaka Halakhot Tsédaka, voir les commentaires sur Yéchaâya chapitre 32 verset 17.
Rabbi Aba a expliqué : si tu as donné de ta poche pour une œuvre charitable, Hachem te préservera de toutes les sortes d’impôts », du mauvais œil et des mauvaises pensées, lorsque le mauvais penchant se réveille et apporte de mauvaises pensées, il sera profitable de donner de l’argent à la Tsédaka (en utilisant aussi, bien entendu, les remèdes essentiels qui sont l’étude de la Torah, l’éloignement de scènes et d’images de débauches.
Références : Talmud de Jérusalem Péa 1,1, Igra Dépirka.
Rabbi Eléazar a dit : 3 choses annulent les mauvais décrets, et les voici : « la Téphila, la Tsédaka et la Téchouva ».
Références : Talmud de Jérusalem Taânit Halakha 2,1 – 65b.
Même les méchants qui n’ont pas d’autre mérite que la charité, sont visités par la présence divine.
Références : Midrach Cho’har Tov 17, Midrach Tan’houma Vayikra.
« Au moment où l’homme quitte ce monde, ni l’argent, ni l’or, ni les pierres précieuses, ni les perles ne l’accompagnent, mais uniquement la Torah et les bonnes actions »
Références : Pirké Avot 6,9.
La Mitsva de Tsédaka ne se limite pas à donner de l’argent. Elle consiste aussi à aider les autres dans tous leurs besoins.
Références : Rabbi Aharon Rata z.t.l rapporté par Rabbi Emmanuel Mimran Chlita.
Aphorisme du Pirké Avot, Maximes des Pères
Ce que l’on apprend dans sa jeunesse ressemble à ce qui est écrit sur du papier blanc et ce que l’on apprend dans sa vieillesse, ressemble à ce qui est écrit sur un papier maculé.