Halakha N°1
Deux pâtes ou deux pains (ou pâtisseries) qui, séparément, n’ont pas la mesure nécessaire pour prélever la ‘Halla, mais dont le poids combiné arrive au « Chi’our » (mesure), ou le dépasse, lorsqu’ils seront disposés dans un même récipient, celui-ci les « unira » et l’on pourra prélever la ‘Halla. C’est ce qui s’appelle « Tsirouf Sal » (l’union par le panier). Il faudra donc veiller à avoir un « Tsirouf Sal » et à ce que les pâtes, ou les pains, se touchent.
Références : Rabbi Yossef Karo z.t.l dans le Choul’han ‘Aroukh section Yoré Déâ chapitre 325, Rabbi Israël Méïr Hacohen z.t.l dans Michna Béroura Ora’h ‘Haïm chap. 457 Saïf 7, Rabbi Yaâkov Haïm Sofer z.t.l dans le Kaf Ha’haïm Ora’h ‘Haïm chap. 457 Saïf 21.
Halakha N°2
Dans le cas où l’on a pétrit environ pour 1.200 kg de pâte et que l’on prélève la ‘Halla sans Bérakha et que la semaine d’après on a pétrit encore 1.200 kg et que l’on prélève la ‘Halla de nouveau sans Bérakha et que les deux pâtes se retrouvent dans un même congélateur de manière à ce qu’il leur confère un « Tsirouf Sale » il est préférable de prélever la ‘Halla, sans Bérakha.
Références : Rabbi Yossef Karo z.t.l dans le Choul’han ‘Aroukh Yoré Déâ chapitre 325 Saïf 1, et dans le Choul’han ‘Aroukh section Ora’h ‘Haïm chapitre 457 Halakha 1, Rabbi Israël Méïr Hacohen z.t.l dans Michna Béroura Ora’h ‘Haïm chapitre 457 Saïf 7 et dans Chaâr Hatsïon Saïf 9, Rabbi Yaâkov Haïm Sofer z.t.l dans le Kaf Ha’haïm Ora’h ‘Haïm chapitre 457 Saïf 21.
Aphorisme de nos Sages
Les amis sont comme les ballons, quand tu les as laissés s’envoler, tu ne les retrouves pas toujours.